Maintenir un système de protection cellulaire efficace

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La cellule est l’unité de base du corps humain qui en contient en propre près de 100 mille milliards selon certaines estimations et dont la plupart ont une taille d’une dizaine de micromètres.

Les cellules prennent dans leur environnement les nutriments nécessaires à leur fonctionnement et y déversent les déchets qui en résultent. Elles sont des usines organiques dans lesquelles il y a d’incessantes transformations chimiques réalisées par des enzymes. Ces transformations leur permettent de fabriquer et de renouveler leurs constituants. Elles communiquent entre elles par contacts membranaires, par échanges de molécules et d’ions et par l’intermédiaire du système nerveux et d’hormones.

Les possibilités de la cellule sont déterminées par les gènes qu’elle contient et qui s’y expriment ainsi que par l’intervention de ceux-ci avec l’environnement. Les cellules assurent  des fonctions particulières telles que la transmission de l’information nerveuse, l’absorption des nutriments. Et, bien sûr elles se reproduisent et puis elles meurent.

La cellule est équipée d’un système de protection élaboré pour faire face à diverses agressions pouvant la mettre en péril. Ce système fait appel à des vitamines, minéraux, oligo-éléments, acides aminés, enzymes et coenzymes qui agissent en synergie pour protéger sa membrane et son milieu intérieur. L’élément majeur de ce système est le glutathion, un enzyme antioxydant qui se décline en quatre variétés (synthétase, péroxydase, transférase, réductase) ayant chacune un rôle spécifique.

Le glutathion neutralise plusieurs types de radicaux libres. Il détoxique l’organisme en éliminant de nombreuses toxines, polluants chimiques et métaux lourds. Enfin, il optimise le système immunitaire qui combat virus et bactéries. De plus, on lui attribue pas moins de quarante autres fonctions métaboliques d’où son rôle important dans le bon fonctionnement de l’organisme humain.

La molécule de glutathion est uniquement synthétisée par la cellule à partir de trois acides aminés : glutamate, glycine et cystine et du soufre. Une alimentation variée approvisionne nos cellules en glutamate et glycine en quantité suffisante. Ce qui n’est pas le cas pour la cystine qui ne se retrouve qu’à l’état de traces que dans certains aliments.

Maintenant, il existe un aliment-médicament, Immunocal un produit québécois composé de protéines non dénaturées de petit-lait contenant une concentration optimale de cystéine. Comme elle n’est pas détruite par le système digestif, la cystéine se rend directement aux cellules qui peuvent alors synthétiser le glutathion et s’en faire des réserves dont d’ailleurs, elles auront grandement besoin vue son utilisation élevée. Ce produit naturel approuvé par Santé Canada ( NPN : 80004370 ) peut être également prescrit comme médicament par les médecins, car il figure dans le CPS canadien ( compendium des produits et spécialités pharmacologiques ). Immunocal a été expérimenté dans le traitement de nombreuses maladies graves dans le cadre d’essais cliniques rigoureux et a fait l’objet de nombreuses publications scientifiques dans des revues médicales renommées.

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Comme le glutathion, l’acide alpha-lipoïque (AAL) est aussi un élément clé du système de protection cellulaire. C’est un coenzyme fabriqué par le corps à partir d’un acide aminé soufré, la cystéine.

L’AAL est appelé «l’antioxydant universel», car il est à la fois hydro et hyposoluble, ce qui lui permet d’agir à l’intérieur comme à l’extérieur de toutes les cellules, y compris celles du cerveau puisqu’il traverse la barrière hémato-encéphalique.

En plus de neutraliser plusieurs variétés de radicaux libres (oxygène singulet, hypochlorite, peroxynitrique), il joue un rôle essentiel dans la régénération du système de défense cellulaire contre le stress oxydatif. Il possède la capacité unique d’augmenter les niveaux de glutathion intracellulaires et de régénérer les vitamines E, C et le coenzyme Q10.

En plus d’être un puissant antioxydant, il agit également comme :

  • un modificateur de l’expression génétique permettant de réduire l’inflammation,
  • un chélateur de métaux lourds toxiques (mercure, cadmium, arsenic, plomb) qui de plus, ne réduit que la quantité superflue de fer sans éliminer les minéraux et oligo-éléments indispensables à l’organisme (zinc, cuivre, manganèse, sélénium),
  • un activateur de la sensibilité à l’insuline qui, en augmentant la consommation du glucose par les cellules, facilite l’élimination du sucre de la circulation sanguine,
  • un régénérateur des lymphocytes T qui favorise une réponse immunitaire efficace du corps aux divers pathogènes qui l’assaillent.

Il s’agit donc d’une substance indispensable dont un niveau suffisant doit être maintenu. Un organisme jeune et en santé en produit naturellement en quantité suffisante. Cependant, après la quarantaine sa présence dans le corps tend à diminuer et de façon plus marquée après 60 ans. En fait, avec l’âge, on observe une baisse de la concentration, de la synthèse et du recyclage des antioxydants essentiels. C’est pourquoi, il est nécessaire dans ce cas, d’avoir recours à des suppléments nutritionnels pour maintenir la capacité du corps à lutter efficacement contre les radicaux libres. Concernant l’AAL, il faut privilégier la forme R que l’on trouve naturellement dans le corps humain.

En conclusion, une saine alimentation, combinée à la prise d’Immunocal, de vitamines, de minéraux et d’acide R alpha-lipoïque aide à maintenir l’efficacité du système de protection cellulaire, qui vous garde en santé.

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